Vingt mille kilomètres et toujours sur la route. L'Angola est un paradis du cyclisme, aux paysages grandioses et aux nombreuses routes (chinoises) toutes neuves.
Pourtant, en évitant la circulation et les villes très chères, j'ai quand même réussi à «pédaler» pendant 60 km sur des pierres et du sable pour rejoindre Golungo Alto depuis Quibaxe et, se faisant, passer le cap des 20000km au milieu de nulle part.
Après 500 km dans le pays de très gros (plus de deux fois plus grand que la France), mon portuñol est assez bon, le bleu ciel est de retour, ainsi que des montagnes de montagnes russes infâme me rend souvent de pousser le vélo sous un soleil brûlant des. Si elle continue (les cartes le dire) je vais finir avec les bras aussi forts que mes jambes.
Accepté ! :)))
So very proud… 🙂